Cris Beauchemin est directeur de recherche à l’Ined et fellow à l’Institut Convergences Migrations. Il possède une vaste expérience de recherche sur les migrations internationales. Il a participé et dirigé plusieurs projets de grande ampleur dans ce domaine, notamment le projet MAFE et les enquêtes TeO1 et 2.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Cris.
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Jennifer Bidet, maîtresse de conférences à l’Université Paris-Descartes, utilise une approche intersectionnelle pour étudier l’immigration. Elle a travaillé sur les dynamiques de mobilité sociale dans la migration, analysées à travers le prisme des relations familiales entre la France et l’Algérie dans une perspective transnationale. Riche de son expérience dans l’ethnographie des relations dans les familles immigrées (algériennes), J. Bidet dirigera le volet qualitatif du projet 3GEN.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Jennifer.
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Milan Bouchet-Valat est chercheur à l’Ined. Ses recherches portent sur l’homogamie, la stratification sociale et les méthodes quantitatives, notamment les modèles log-linéaires et log-multiplicatifs utilisés pour analyser la mobilité sociale intergénérationnelle.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Milan.
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Louise Caron est chercheuse à l’Ined et fellow à l’IC Migrations. Après l’obtention de son doctorat en sociologie à Sciences Po en 2019, elle a travaillé comme chercheuse postdoctorale à l’Université Catholique de Louvain. Ses recherches portent principalement sur les liens entre les itinéraires migratoires, les processus d’intégration, les trajectoires socio-économiques et les inégalités de santé parmi les immigré·es et leurs descendant·es.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Louise.
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Pauline Clech est chercheuse post-doctorante à l’INED, dans le cadre du projet 3GEN (volet qualitatif). Ses recherches portent sur des formes de mobilités sociales atypiques, qui se déroulent hors de l’école et de la certification scolaire. Elle a exploré ce processus à travers trois terrains empiriques : les institutions culturelles de la banlieue communiste (doctorat), les colonies de vacances (post-doctorat), l’entrepreneuriat ethnique de familles issues de l’immigration palestinienne et syrienne au Chili (post-doctorat). Ses recherches interrogent la place des discriminations et de l’assignation raciale dans ces trajectoires ascensionnelles.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Pauline.
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Margot Delon est chargée de recherche au CNRS (Université de Nantes). Ses travaux portent sur la sociologie urbaine et l’étude des inégalités socio-économiques et raciales. Elle a mené des recherches sur l’analyse comparative des trajectoires sociales des enfants portugais et algériens qui ont grandi dans les bidonvilles français dans les années 1960. Elle étudie actuellement le thème de l’immobilier locatif en France et en Italie.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Margot.
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Lucas Drouhot est Assistant Professor à l’université d’Utrecht. Précédemment chercheur postdoctoral à l’Institut Max Planck pour l’étude de la diversité religieuse et ethnique, il a obtenu un doctorat en sociologie en 2018 à l’université Cornell. Ses recherches portent sur le processus d’inclusion sociale des enfants d’immigré·es à travers de multiples dimensions (socioéconomiques, relationnelles, culturelles) et lignes de différenciation (notamment la religion).
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Lucas.
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Mathieu Ferry est postdoctorant à l’Ined sur le projet 3GEN. Il a obtenu un doctorat en sociologie en 2021 de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris. Ses recherches portent sur l’articulation entre logiques de statut et ressources de classe (le capital scolaire notamment) suivant la position des individus dans la stratification sociale. Il s’intéresse en particulier aux liens entre positions dites « ascriptives » – telles que l’appartenance ethnique – et les processus de formation de « groupes de statut ». Il mobilise à la fois des méthodes quantitatives et qualitatives dans l’étude des sociétés indienne et française.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Mathieu.
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Haley McAvay est enseignante-chercheuse (lecturer) à l’université de York (Royaume-Uni). Ses recherches portent sur la ségrégation résidentielle, les effets de voisinage et les inégalités ethnoraciales à l’aide de méthodes quantitatives appliquées à des données d’enquête et de recensement. Ses travaux récents explorent les liens entre la mobilité résidentielle et sociale tout au long de la vie et entre les générations.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Haley.
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Ognjen Obucina est chercheur à l’Ined. Il est co-responsable (avec M. Ichou) de l’unité de recherche Migrations internationales et minorités. Ses principaux intérêts de recherche portent sur l’intégration socio-économique des immigré·es et les comportements familiaux, avec un accent particulier sur les mariages mixtes. Plus récemment, il a également travaillé sur la transmission intergénérationnelle de l’identité dans les familles mixtes.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Ognjen.
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Ugo Palheta est maître de conférences à l’Université de Lille et membre du Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris (Cresppa/CNRS). Il a travaillé sur les trajectoires scolaires et sociales des jeunes des classes populaires, en utilisant des approches quantitatives et ethnographiques, ce qui l’a amené à aborder la question spécifique de la deuxième génération. Il travaille actuellement sur les discriminations sur le marché du travail et sur une étude socio-historique des femmes immigrées portugaises en France.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle d’Ugo.
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Paul Siarry est doctorant en sociologie à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à l’Ined. Ses recherches portent sur les trajectoires scolaires des petits-enfants d’immigré·es en France, en s’appuyant à la fois sur l’exploitation de l’enquête Trajectoires et Origines 2 et sur des entretiens semi-directifs. Il s’intéresse particulièrement aux transmissions intergénérationnelles sur trois générations dans les familles immigrées et aux processus d’intégration des descendant·es d’immigré·es.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Paul.
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Patrick Simon est directeur de recherche à l’Ined, responsable du département INTEGER à l’Institut Convergences Migrations, et chercheur associé à l’Observatoire Sociologique du Changement (OSC, Sciences Po). Il étudie la (re)production des minorités, la discrimination ethnique, raciale et religieuse et les classifications ethno-raciales dans les statistiques officielles.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Patrick.
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Rosa Weber est postdoctorante à l’INED et à l’université de Stockholm, financée par FORTE. Après avoir obtenu son doctorat en sociologie à l’Université de Stockholm en 2020, elle a travaillé comme postdoc à l’Université Åbo Akademi en Finlande et à l’Université de Stockholm. Ses recherches portent sur le statut socio-économique des migrants et de leurs descendants en France et en Suède, et abordent la manière dont ils sont façonnés par la ségrégation résidentielle, scolaire et professionnelle.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page personnelle de Rosa.
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